Importance de l'environnement dans le processus d'amélioration d'une personne
Une revue des études sur les résultats obtenus par les psychothérapies (...) met en évidence que l'amélioration d'une personne en thérapie serait déterminée par :
40% - Des facteurs extra-thérapeutiques qui tiennent du patient et de son environnement : 40%
30% - Des facteurs relationnels communs et non spécifiques aux modèles thérapeutiques, comme l'empathie, la chaleur relationnelle, l'encouragement.
15% - Les attentes du patient vis-à-vis de la thérapie qu'il entreprend : 15 %
15% - Les facteurs techniques spécifiques au modèle appliqué par le thérapeute : 15%
Source : Livre collectif dirigé par Isabelle Célestin-Lhopiteau, "Changer par la thérapie", aux éditions Dunod.
Recherche de Lambert et al (1986)
40% - Des facteurs extra-thérapeutiques qui tiennent du patient et de son environnement : 40%
30% - Des facteurs relationnels communs et non spécifiques aux modèles thérapeutiques, comme l'empathie, la chaleur relationnelle, l'encouragement.
15% - Les attentes du patient vis-à-vis de la thérapie qu'il entreprend : 15 %
15% - Les facteurs techniques spécifiques au modèle appliqué par le thérapeute : 15%
Source : Livre collectif dirigé par Isabelle Célestin-Lhopiteau, "Changer par la thérapie", aux éditions Dunod.
Recherche de Lambert et al (1986)
Du rôle de chacun dans les processus de guérison
Chacun de nous a un rôle à jouer. Souvent, il ne consiste qu’à être un simple instigateur. On nous fait parfois apparaître dans la vie d’une personne, au moment précis où celle-ci est à la croisée des chemins. Volontairement ou non, nous allons influer sur ses choix. Cette personne optera pour telle ou telle direction, et tout son avenir s’en trouvera transformé. Je connais des êtres qui n’auraient jamais sombré dans la désespérance si on avait trouvé le mot juste pour les retenir.
Extrait - Le livre de saphir, Gilbert Sinoué
Extrait - Le livre de saphir, Gilbert Sinoué
De la guérison - Guy Gilbert
Pour obtenir des guérisons, il y a la prière : une attitude d’abandon et de confiance dans le Christ ; la présence de croyants formant un corps vivant pour le Christ : et Dieu qui agit par l’intermédiaire d’une personne qui a le charisme.
Le porteur du charisme de guérison n’est pas meilleur que les autres, c’est juste le passeur de Dieu, grâce à la prière collective.
Le père Tardif disait : « Je prie et Jésus guérit. » Quand on lui demandait pourquoi, parmi ceux à qui il avait apposé les mains, certains guérissaient et d’autres restaient malades, il rétorquait : « Là-haut, je poserai la question et j’aurai la réponse. »
Il est bien difficile de savoir d’où vient la guérison. La foi suppose une adhésion de tous au même Christ. Un théologien, le père Hugueux, disait : « Il faut croire pour guérir et guérir pour croire. » C’est un joli paradoxe.
Il ajoutait : « Les deux ont une force d’entraînement mutuelle. » La phrase du Christ est : « Va, ta foi t’as guéri. »
L’Eglise n’a pas le monopole des miracles. Des personnes non chrétiennes guérissent de façon étonnante. La foi n’est pas non plus une médecine. Cependant, tous les médecins vous diront que le meilleur auxiliaire aux traitements est la foi du patient en sa capacité de guérir.
On ne dira jamais assez qu’entre le médecin et la personne atteinte du mal, la relation est déterminante. La façon d’être du docteur ou de l’infirmier peut aider le malade de manière décisive. Malheureusement, trop de médecins et de soignants sont débordés de travail et ne peuvent se consacrer qu’à des visites express. Les gens pensent qu’ils ne sont plus qu’un corps malade, alors qu’ils sont simplement souffrants.
Que vous soyez chrétien ou non, votre regard, votre attitude et la considération que vous avez envers le malade, le handicapé ou le souffrant ont une force. Celui ou celle qui retrouve des raisons positives de vivre peut parfois guérir de façon parfaitement imprévisible. Aller de l’avant et aller vers les autres, c’est sans doute là que se situe le miracle de Dieu. Et surtout, trouver en soi des forces insoupçonnées qui redonnent la vie et effacent le mal. Dieu nous a créés, nous laissant jusqu’à la fin des temps la possibilité de Le chanter et de Le louer dans le mystère de ce que nous sommes.
Dieu ne guérit pas les lépreux, Il les envoie chez le prêtre et en route, dit l’Evangile, ils sont guéris. Ce n’est pas un miracle du Christ. Au seul et unique qui est venu le remercier, le Christ a répondu : « C’est ta foi qui t’a sauvé. »Le miracle du lépreux guéri, c’est sa foi.
La prière peut-elle empêcher les cyclones, les tremblements de terre ? Non, évidement. Combattre victorieusement les guerres et les maladies ? Oui, je le crois. Si tout le monde s’y met.La prière n’a pas été inventée pour faire des miracles, mais les miracles sont signes de Dieu qui clame son Innocence au cœur de nos vies.
Père Guy Gilbert - Mes plus belles prières - 2012 -
Le porteur du charisme de guérison n’est pas meilleur que les autres, c’est juste le passeur de Dieu, grâce à la prière collective.
Le père Tardif disait : « Je prie et Jésus guérit. » Quand on lui demandait pourquoi, parmi ceux à qui il avait apposé les mains, certains guérissaient et d’autres restaient malades, il rétorquait : « Là-haut, je poserai la question et j’aurai la réponse. »
Il est bien difficile de savoir d’où vient la guérison. La foi suppose une adhésion de tous au même Christ. Un théologien, le père Hugueux, disait : « Il faut croire pour guérir et guérir pour croire. » C’est un joli paradoxe.
Il ajoutait : « Les deux ont une force d’entraînement mutuelle. » La phrase du Christ est : « Va, ta foi t’as guéri. »
L’Eglise n’a pas le monopole des miracles. Des personnes non chrétiennes guérissent de façon étonnante. La foi n’est pas non plus une médecine. Cependant, tous les médecins vous diront que le meilleur auxiliaire aux traitements est la foi du patient en sa capacité de guérir.
On ne dira jamais assez qu’entre le médecin et la personne atteinte du mal, la relation est déterminante. La façon d’être du docteur ou de l’infirmier peut aider le malade de manière décisive. Malheureusement, trop de médecins et de soignants sont débordés de travail et ne peuvent se consacrer qu’à des visites express. Les gens pensent qu’ils ne sont plus qu’un corps malade, alors qu’ils sont simplement souffrants.
Que vous soyez chrétien ou non, votre regard, votre attitude et la considération que vous avez envers le malade, le handicapé ou le souffrant ont une force. Celui ou celle qui retrouve des raisons positives de vivre peut parfois guérir de façon parfaitement imprévisible. Aller de l’avant et aller vers les autres, c’est sans doute là que se situe le miracle de Dieu. Et surtout, trouver en soi des forces insoupçonnées qui redonnent la vie et effacent le mal. Dieu nous a créés, nous laissant jusqu’à la fin des temps la possibilité de Le chanter et de Le louer dans le mystère de ce que nous sommes.
Dieu ne guérit pas les lépreux, Il les envoie chez le prêtre et en route, dit l’Evangile, ils sont guéris. Ce n’est pas un miracle du Christ. Au seul et unique qui est venu le remercier, le Christ a répondu : « C’est ta foi qui t’a sauvé. »Le miracle du lépreux guéri, c’est sa foi.
La prière peut-elle empêcher les cyclones, les tremblements de terre ? Non, évidement. Combattre victorieusement les guerres et les maladies ? Oui, je le crois. Si tout le monde s’y met.La prière n’a pas été inventée pour faire des miracles, mais les miracles sont signes de Dieu qui clame son Innocence au cœur de nos vies.
Père Guy Gilbert - Mes plus belles prières - 2012 -